Cancer

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Selon une étude menée par le british journal of cancer, le dépistage du cancer du col par frottis, réalisés régulièrement ou non a un impact sur la mortalité et la survenue de ce cancer.

Selon cette étude basée sur une population utilisant des données de dépistage du cancer du col utérin en Angleterre de 1988 à 2013 ; le dépistage cervical de qualité assure une réduction de l’incidence du cancer du col utérin et que la force de l’association augmente avec l’âge et la progression du stade FIGO. En résumé, si toutes les femmes participent régulièrement au dépistage, la mortalité brute pour les femmes âgées de 25,5 à 79 ans serait la moitié de la normale, alors qu’elle serait de 3,6 fois plus élevé en l’absence de dépistage cervical. L'effet sur la mortalité est plus grand que l'effet sur l'incidence du cancer, comme le dépistage du cancer du col de l'utérus cancers (à des stades avec amélioration de la survie) ainsi que leur prévention.

Les estimations du nombre de décès causés par le cancer du col de l'utérus qui pourraient être évités par un dépistage régulier ou qui sont prévenues par le dépistage actuel. Par conséquent, le dépistage (à partir de l'âge de 25 ans) augmentera (très probablement) le nombre de cancers mortels diagnostiqués à 25 ans, même si cela réduit la mortalité (cumulative) du cancer du col de l'utérus.

La méthode la plus directe pour évaluer l'effet du dépistage sur la mortalité requiert des données individuelles sur la survie après un diagnostic de cancer du col de l'utérus, ainsi que l'historique de dépistage de ces individus.

L’étude menée par le british journal of cancer a été plus vaste par rapport à d’autres études comme l’étude canadienne  de Vicus D et coll. (2014) qui ont analysé 1052 décès dus au cancer du col de l'utérus au Canada et ont constaté que le dépistage dans les 3-36 mois précédant le diagnostic de cancer du col utérin a réduit la mortalité de 40 à 72% selon l'âge, mais le dépistage 37-60 ou 61 -120 mois avant le diagnostic n'a été associé à aucune réduction du risque. Quant à l’étude finlandaise menée par Lonnberg S et coll. (en 2013) et qui ont analysé des données sur 506 femmes décédées du cancer du col de l'utérus de  2000 à 2009. Dans l'ensemble, ils ont signalé une réduction de 66% de la mortalité liée à la participation à un seul programme. Ces deux études ont trouvé peu d'effet du dépistage sur la mortalité chez les jeunes femmes (moins de 40 ans). Alors que l’étude américaine  de Rustagi AS et coll. (en 2014) et qui ont étudié 39 décès dus au cancer du col de l'utérus chez les femmes âgées de 55 à 79 ans et ont constaté que le dépistage au cours des sept années précédant le diagnostic était associé à une réduction de 74% de la mortalité.

Selon l'INC (Institut national du cancer) en France, Chaque année, le cancer du col de l'utérus touche 3 000 femmes et entraîne environ 1 000 décès. Ce cancer et les lésions précancéreuses notamment liés à l'infection persistantes, non guérie peuvent cependant être dépistés et traitées avant leurs évolutions et passage au stade métastasé grâce à la réalisation d'un frottis cervico-utérin.

La fréquence recommandée en France pour les femmes entre 25 et 65 ans est de faire un dépistage tous les 3 ans car c’est un cancer d'évolution lente, d'où l'inutilité de faire des frottis trop rapprochés.

Pour conclure, cette récente étude a  montré que le dépistage a une incidence encore plus grande sur la mortalité par cancer du col de l'utérus que sur l'incidence et que si tout le monde participe régulièrement au dépistage, 83% des décès peuvent être évités, contre 70% avec le dépistage actuel. Ces résultats sont encourageants et devraient être utilisés pour promouvoir, parmi les femmes, la participation régulière au dépistage et, parmi les décideurs, la mise en œuvre de programmes de dépistage organisés dans des domaines non encore couverts.

Source : British journal of cancer


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  • 01 sep 2016

  • Par : A . Arfaoui

  • Tags : Cancer

Parmi le plus fort taux de cancers, le cancer du sein vient en première position : il représente 36 % des cas chez la majorité des femmes, suivi par le cancer du col d’utérus avec 12 %. Chez les hommes, le cancer du poumon se trouve en première position représentant un quart des cas décelés, toutes proportions confondues, suivi par le cancer de la prostate et du système digestif.

 Selon une enquête menée par le ministère de la Santé, qui détermine la prévalence du cancer chez les enfants, il s’est avéré que la «leucémie» ou cancer du sang représente environ 50% du total des cancers diagnostiqués chez les enfants marocains âgés entre 1 an et 15 ans.

 En outre, le cancer des glandes ou des ganglions lymphatiques représente 45%. On nôte également qu’avec 1.200 nouveaux cas de cancer chez les enfants par an, seulement 750 d'entre eux se font soigner à l’hôpital.

Selon le ministère, le taux de guérison du cancer chez les enfants est limité à 65% par rapport à 80% à 90% dans les pays européens en cas de diagnostic précoce.

 Le dépistage tardif peut être fatal voire mortel chez la majorité des patients, avec des coûts de traitement extrêmement élevés qui constitue un fardeau excessif pour les patients.

Malgré les efforts déployés à la fois par la Fondation Lalla Salma pour la prévention et le traitement du cancer et par le Ministère de la santé, certains patients n'ont pas accès aux soins à cause de la distance géographique ou en raison de la cherté de certains médicaments.

Il est à noter que le taux de Marocains considérant que le traitement classique est bénéfique par rapport au traitement moderne représente 32 %, tandis que le nombre des Marocains qui ont recours à un traitement moderne est de 62 % en 2010.


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