Transplantation

Message d'erreur

  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 10 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Undefined index: node in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 10 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Undefined index: node in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).

Taxonomy term

L’équipe de chirurgiens du service cardiologie du CHU de Lille sont parvenus pour la première fois en France à réaliser la transplantation d’un "cœur isolé perfusé" transporté sur de longues distances.

L’équipe à utilisé une technique, appelée en anglais "Organ Care System". Cette dernière est déjà utilisée dans des pays plus vastes, comme les États-Unis et l'Australie, où le transport d'un organe peut prendre du temps. Elle consiste à perfuser en sang oxygéné le cœur battant du donneur avant la transplantation, et ce durant tout le temps de transport. C’est une alternative à la technique habituelle qui consiste à conserver le cœur en arrêt dans de la glace.

Selon les chirurgiens du CHU de Lille, "Avec cette technique la durée du transport n'a plus le même niveau de risque, et la limite théorique des 4 heures de transport dans la glace se trouve prolongée au-delà de 6 heures".

Cette thechnique, qui maintient le cœur dans des conditions optimales de température et d’oxygénation, devrait permettre d’augmenter le nombre de greffes cardiaques réussies car la durée de conservation du cœur à l’arrêt en dehors de l’organisme était l’un des principaux facteurs de risque d’échec de la transplantation.


Taxonomy term

Une équipe de chirurgiens se prépare à réaliser la première transplantation de tête en décembre 2017 ! 

Sergio Canavero a en effet annoncé le 27 avril qu'il allait réaliser cette greffe de tête en Chine fin 2017, avec une équipe dirigée par le chirurgien chinois Xiaoping Ren. Celui-ci a notamment participé à la première greffe de main aux Etats-Unis.

Il a annoncé avoir trouvé un volontaire pour cette transplantation de tête humaine. Il s’agit d’un homme atteint de tétraplégie. La tête du patient sera transplantée sur le corps d’un donneur. L’idée est d’obtenir au final un patient avec une tête reconnectée à un corps fonctionnel. Le neurochirurgien a annoncé sur son site que l’expérience aura lien en décembre 2017.

Les recherches de cette équipe, parues mercredi 14 juin dans la revue scientifique CNS Neuroscience et Therapeutics, ne mentionnent pas le terme de transplantation de tête. Mais reconnecter la moelle épinière avec succès, tout en s'assurant du bon fonctionnement neurologique du "patient", est l’un des nombreux obstacles à surmonter. L'opération a réussi dans 14 cas sur 15, selon le compte-rendu d’étude. "Dans les 36 heures qui ont suivi l'intervention l'encéphalogramme et l'électrocardiogramme étaient normaux. Il n'y a pas eu non plus de nécrose des tissus ni d'anomalie vasculaire post-opératoire.

Les chirurgiens ont sectionné les moelles épinières de ces 15 rats. Neuf d’entre eux ont été soignés grâce à la technique mise au point par Canavero. L’équipe a utilisé un polyéthylène glycol (PEG), un polymère favorisant la réparation des membranes nerveuses dans la moelle épinière, pour raccorder les deux sections de moelle épinière, ainsi qu’une solution saline refroidie pour stopper les saignements. Ils ont administré des antibiotiques aux rats pendant trois jours après l’opération. Résultat, un seul rat n’a pas survécu, les autres ont vécu pendant un mois après l’opération. Au 28e jour, les rats traités avec le PEG avaient recouvré leurs fonctions motrices ainsi que leur faculté de marcher. Deux d’entre eux étaient dans un état décrit par les scientifiques comme tout à fait normal.

Mais ce projet est critiqué par la communauté scientifique, à la fois sur le plan éthique et technique. On lui a notamment reproché une absence de preuves et de résultats, sans lesquelles il est difficile d'imaginer la viabilité d'une telle greffe.

Source : Sciences et avenir