Chirurgie

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La cour d'appel de Paris vient de condamner un chirurgien et une infirmière pour homicide involontaire. Le chirurgien est condamné à quatre mois d’emprisonnement avec sursis et 10 000 € d’amende, et l’infirmière à quatre mois d’emprisonnement avec sursis.

Quelle est l'accusation portée contre lui ?

Le chirurgien pose un pansement circulaire cervical réalisé avec des compresses appliquées sur l’incision cervicale et maintenues par une bande enroulée autour du cou d’une femme après une thyroïdectomie.12 heures après,  la patiente est décédée suite à un arrêt cardiaque en raison d’une compression trachéale causée par un hématome compressif.

Il est à signaler que depuis 1988, la pose de pansement compressif a beaucoup évolué. Il n’est plus recommandé actuellement mais en préfère le  micro-pansement sur la cicatrice, qui présente le double avantage d’être moins compressif et de ne pas masquer l’apparition d’un éventuel hématome.

Sources : www.macsf-exerciceprofessionnel.fr

 

 


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Au début des années 2000, alors que j’étais jeune chef de clinique à l’université Paris VII, Hôpital Lariboisière de l’Assistance Publique, j’ai accompagné un de mes enseignants à un congrès de gynécologie dans la ville de Fès. J’y ai rencontré des camarades médecins et plus particulièrement un, le docteur Lahcen Falaq que je n’avais pas revu depuis mon départ en France pour effectuer ma spécialité. Et comme on fait tous les deux de la chirurgie gynécologique, on a commencé à discuter techniques et savoir-faire. Il m’a avoué sans complexe qu’à Rabat, la ville où il a effectué son apprentissage, on leur interdisait la chirurgie par les voies naturelles, sans parler des techniques de chirurgie laparoscopiques moins invasives (faute de matériel). Aussitôt, il m’a proposé de venir à l'hôpital Ibn El Khatib alias Cocard par rapport au nom du sergent-infirmier français Claude Cocard. Effectivement, trois mois plus tard, je suis venu opérer une série de patientes par les voies naturelles. Une technique simple et reproductible, qui permet aux femmes de ne pas avoir de cicatrice sur le ventre et de reprendre rapidement leurs activités, sans parler d’une occupation faible des lits d’hôpitaux et une consommation réduite de médicaments. Je n’ai fait que transmettre un savoir-faire qui m’a été transmis par mes professeurs en France, surtout les techniques faciles à reproduire du Pr Henri-Jean Philippe dont la rencontre a changé ma vie. Dr Lahcen Falaq ne se contentait pas d’apprendre des techniques qu’il ne connaissait pas, mais il a fait tout son possible pour demander à ses amis qui venaient de loin pour assister et apprendre. C’est qu’au bout d’un moment, c’est moi qui les assistés et accompagnés afin que ceux qui le souhaitent puissent apprendre, progresser et avoir confiance dans leurs gestes. On a pu ensemble et sur plusieurs années, organiser et souvent sans aucun sponsor des journées opératoires pour venir en aide aux patientes et surtout transmettre ce que nous savons. Ceci n’a rien d’extraordinaire, c’est l’essence même de l’art de la chirurgie, mais c’est devenu hélas exceptionnel dans l’ère de la marchandisation de la médecine et du savoir. Ainsi, j’ai pu faire dans un petit bloc opératoire et après dans d’autres structures faire ce que les CHU ne m’ont jamais permis de faire. Et ce n’est pas faute de demander à avoir accès aux étudiants et à plusieurs reprises.

Quinze ans plus tard, alors que je suis beaucoup plus connu et que les moyens d’information battent leur plein, j’ai souhaité reprendre cette activité d’enseignement aux jeunes générations. D’après mes informations, leur apprentissage ne s’est pas amélioré entre temps, pire il a même régressé à cause de la cupidité et la vision étriquée de certains enseignants. Comme j’ai commencé à participer à l’offre de soins à l’hôpital mère-enfants Pagnon de Meknès, je me suis mis d’accord avec les responsables de l’hôpital et la délégation de santé pour organiser des workshop afin de transmettre un savoir-faire nécessaire aux gynécologues en formation sachant qu’ils n’en possèdent pas.

Jusqu’à présent le nombre de personnes qui assistent ne dépassent pas les 10 % de ceux que je formais par le passé. J’avoue ne pas comprendre, d’autant plus que je sais d’après les dires de jeunes résidents en fin de cursus que leur formation est incomplète, voir dangereuse. En effet, j’ai eu en formation une résidente qui vient de réussir son examen théorique de spécialité mais qui n’a effectué que trois ablations de l’utérus dans son cursus, on ne lui a jamais appris les méthodes chirurgicales de traitement des hémorragies post accouchement ou de complications de césariennes. Cette jeune va être affectée dans peu de temps dans un hôpital lointain du Maroc profond et elle devra se confronter à des complications obstétricales importantes puisqu’un certain nombre de femmes qui arriveraient à son hôpital ont déjà essayé d’accoucher à domicile pour diverses raisons. Le gynécologue de garde devrait avoir un savoir-faire nécessaire pour la sortir d’affaire. Alors, si on envoie à cette population oubliée, une jeune diplômée avec un manque d’expérience et une formation bancale, on ne peut s’attendre qu’à des catastrophes. Ensuite, la presse locale et la population qui entretiennent avec les structures de santé publique une relation de défiance, mettre à mal l’honneur du jeune médecin avant de le mettre devant les tribunaux. Bien évidement, personne ne parlera des conditions de travail ni ceux de sa formation.

Devant des politiques de santé publique non adaptée à la réalité du terrain et des enseignants qui gardent leur savoir-faire pour eux et ne transmettent que peu à leurs étudiants, les médecins en formation n’ont aucun choix que se prendre en charge et essayer de progresser pour acquérir un savoir-faire et une sérénité dans leur exercice. Ce qui leur permettra de rendre service à leurs patientes et travailler en toute quiétude.

Concernant la santé de la femme, je vous tends la main, j’insiste pour la gratuité de mes formations car un savoir qui permet de sauver des vies et soulager des maux, n’a aucun prix, du moins ici-bas…


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Une équipe de chirurgiens se prépare à réaliser la première transplantation de tête en décembre 2017 ! 

Sergio Canavero a en effet annoncé le 27 avril qu'il allait réaliser cette greffe de tête en Chine fin 2017, avec une équipe dirigée par le chirurgien chinois Xiaoping Ren. Celui-ci a notamment participé à la première greffe de main aux Etats-Unis.

Il a annoncé avoir trouvé un volontaire pour cette transplantation de tête humaine. Il s’agit d’un homme atteint de tétraplégie. La tête du patient sera transplantée sur le corps d’un donneur. L’idée est d’obtenir au final un patient avec une tête reconnectée à un corps fonctionnel. Le neurochirurgien a annoncé sur son site que l’expérience aura lien en décembre 2017.

Les recherches de cette équipe, parues mercredi 14 juin dans la revue scientifique CNS Neuroscience et Therapeutics, ne mentionnent pas le terme de transplantation de tête. Mais reconnecter la moelle épinière avec succès, tout en s'assurant du bon fonctionnement neurologique du "patient", est l’un des nombreux obstacles à surmonter. L'opération a réussi dans 14 cas sur 15, selon le compte-rendu d’étude. "Dans les 36 heures qui ont suivi l'intervention l'encéphalogramme et l'électrocardiogramme étaient normaux. Il n'y a pas eu non plus de nécrose des tissus ni d'anomalie vasculaire post-opératoire.

Les chirurgiens ont sectionné les moelles épinières de ces 15 rats. Neuf d’entre eux ont été soignés grâce à la technique mise au point par Canavero. L’équipe a utilisé un polyéthylène glycol (PEG), un polymère favorisant la réparation des membranes nerveuses dans la moelle épinière, pour raccorder les deux sections de moelle épinière, ainsi qu’une solution saline refroidie pour stopper les saignements. Ils ont administré des antibiotiques aux rats pendant trois jours après l’opération. Résultat, un seul rat n’a pas survécu, les autres ont vécu pendant un mois après l’opération. Au 28e jour, les rats traités avec le PEG avaient recouvré leurs fonctions motrices ainsi que leur faculté de marcher. Deux d’entre eux étaient dans un état décrit par les scientifiques comme tout à fait normal.

Mais ce projet est critiqué par la communauté scientifique, à la fois sur le plan éthique et technique. On lui a notamment reproché une absence de preuves et de résultats, sans lesquelles il est difficile d'imaginer la viabilité d'une telle greffe.

Source : Sciences et avenir


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Selon le Daily Mirror, journal indien, des médecins indiens ont fait une découverte peu commune dans le corps d'un de leur patient,  Bradilal M., âgé de 56 ans.

Ce patient  à l'origine il est venu passer une radio pour des douleurs dans un pied. Lors de l'examen, les médecins ont la surprise de découvrir que sa jambe droite renferme 25 aiguilles et épingles. Par mesure de précaution, ils étendent la radiographie à l'ensemble du corps et font une découverte encore plus surprenante : le patient a également 40 aiguilles métalliques logées dans ses bras et son cou.

Si l'état du patient n'est pas en danger car aucun de ces corps étrangers n'a atteint ses organes vitaux et tous ont été retirés sans incident majeur, celui-ci a été incapable de donner une explication sur la présence de ces aiguilles. Le fils de patient aussi n'a pas pu donner d'explication quant à l'origine de ce problème. Il avait déclaré : "On a eu tellement peur en voyant les photos. On ne sait pas comment les aiguilles se sont retrouvées dans son corps".

Pour les médecins, l'hypothèse la plus plausible serait que le patient lui-même ait avalé ces aiguilles.

Sur les 75 aiguilles trouvées, 40 d'entre eux sont les bras et cou, 25 dans la jambe droite et deux dans les deux bras.

Le patient, qui travaille pour une compagnie ferroviaire locale, est actuellement hospitalisé dans l'hôpital ferroviaire de Mumbai en Inde.